Ich habe meinen sprachlichen Appendix reaktivieren können.
Aber der fr. Rezensent erscheint nicht glücklich über das Szenario zu sein.
http://hu-mu.blogspot.com/2016/11/the-things-we-leave-behind.htmlThe Night Season, de Jeffrey Moeller (22 pages)
Robert Horn, un lycéen d’Anchorage, en Alaska, s’est suicidé il y a treize ans, sans raison apparente. Ses parents engagent les investigateurs pour refaire l’enquête, dans l’espoir de comprendre enfin… Ce scénario très atypique organise une collision violente entre un versant particulier du mythe de Cthulhu et un pan de la culture geek. Le résultat ne ressemble que d’assez loin à un scénario « normal ». Enfin si, au début. Mais le vernis s’écaille vite. En le lisant, il y a eu des moments où je me disais « bon, c’est comme d’habitude », mais deux paragraphes plus loin, je passais soudain en mode « non, sans déconner ? »
Sans que ce soit aussi sensible que dans Roots, il présente un arrière-fond sexuel qui peut être délicat à manipuler. Mais c’est mineur par rapport aux deux grosses difficultés de ce scénario. Avant le jeu, il faudra trouver de nombreuses références communes entre le Gardien des arcanes et les joueurs, bien au-delà de l’habituel « alors c’est un film d’épouvante… » Et en jeu, le Gardien doit les mettre en scène en les inscrivant sur un fond d’horreur. Mal réalisé, ça risque de ressembler à un mauvais épisode de Castle[2]. Ou pire, de déraper vers du Toon. Bien géré, en revanche, ça peut dépoter.
• Avec ou sans Cthulhu : les liens sont tissés plus subtilement que d’habitude, mais ils sont profonds. Difficilement adaptable sans chirurgie.
• À faire jouer si : vous êtes un geek avec une culture de geek et que vous avez envie de l’étaler.
• À ne pas faire jouer si : vous n’aimez pas les mélanges ; vous tenez à une fin heureuse.